liberté de la presse: évènement à Dijon

Encore 23 journalistes tués depuis le début de l'année!

                            Conférence

                  SAMEDI 5 MAI

             à  17H00

             CAFÉ LE MARÉCHAL

               2 AVENUE MARÉCHAL FOCH

Avec

           Reporters Sans Frontières

           L'Association des amis de Samir Kassir

N' attendez pas qu'on vous prive de l'information

                                                                                   pour la défendre

Samir Kassir: journaliste franco-libanais assassiné le 2 juin 2005 à Beyrouth.

D'un père d'origine palestinienne et d'une mère d'origine syrienne, Samir Kassir grandit au Liban.

Journaliste  dans  plusieurs journaux et périodiques, dont Annahar, principal quotidien libanais, Al-Hayat, panarabe basé à Londres, Le Monde diplomatique, et l'Orient - Le Jour, quotidien beyrouthin francophone et meneur de «  La révolution du cèdre »

 Kassir devient particulièrement connu pour son éditorial hebdomadaire dans Annahar. Il fut parmi les premiers à déclarer ouvertement son opposition à l'hégémonie du régime syrien sur le Liban, à travers ses éditoriaux et ses débats publics.

Samir Kassir lança un grand débat au sujet de la démocratie et de la liberté, non seulement au Liban, mais également en Syrie et dans le reste du Monde Arabe.

A l'apogée du soulèvement de l'indépendance du Liban, lorsque le sentiment anti-syrien atteignit son plus haut niveau, engendrant dans certains cas, parmi les Libanais, des réactions violentes à l'encontre des travailleurs syriens au Liban, Kassir se fit le défenseur des droits de ces ouvriers réitérant à maintes reprises que l'opposition à la dictature syrienne ne devait en aucun cas être confondue avec la relation entre les deux peuples.

Kassir était fermement convaincu que le "Printemps de Beyrouth" conduirait inéluctablement à une vague de démocratie à Damas et balayerait la dictature syrienne

Venez rencontrer l'association des amis de Samir Kassir et découvrir l'exemple d'un journaliste qui a perdu la vie pour ses écrits.

Reporters Sans Frontières:

Dans certains pays, un journaliste peut passer plusieurs années en prison pour un mot ou une photo. Parce que emprisonner ou tuer un journaliste, c’est éliminer un témoin essentiel et menacer le droit de chacun à l’information, Reporters sans frontières, fondée en 1985, œuvre au quotidien pour la liberté de la presse.

3 mai 2007 - 17e Journée internationale de la liberté de la presse
Sortie du nouvel album de photographies " 100 photos du Festival de Cannes pour la liberté de la presse" à l’occasion de son 60e anniversaire. 8,90 euros